Un montage très drôle du site Arrêts sur Images

Lu il y a bien des années dans le Canard Enchainé…

Relire george Orwell qui, en 1936, prit son fusil pour aller combattre le fascisme en Espagne et dont Simon Leys disait qu’il ne voyait pas qu’ « il existe un seul écrivain dont l’oeuvre pourrait nous être d’un usage pratique plus urgent et plus immédiat« .

Et tomber en arrêt sur cette phrase :

« Si quelqu’un laisse tomber une bombe sur votre mère, laisser tomber deux bombes sur la sienne. Il n’y a pas d’autre alternative : ou bien vous pulvérisez des maisons d’habitation, vous faites sauter les tripes des gens, vous brûlez les enfants – ou bien vous vous laissez réduire en esclavage par un adversaire qui est encore plus disposé que vous à commettre ce genre de choses.

Jusqu’à présent personne n’a encore suggéré de solution concrète pour échapper à ce dilemme ».

Trouver cette phrase terrible. Se demander si George Orwell a raison ou non, ce qu’on pourrait lui répondre.


The Crisis of Credit Visualized from Jonathan Jarvis on Vimeo.

AFGHANISTAN : Une loi afghane « légalisant le viol »

Le projet de texte indique qu' »il est de la responsabilité de l’épouse d’être prête à satisfaire sexuellement son mari et de ne pas quitter la maison sans autorisation, sauf en cas de besoin ou de difficulté ». Des députés afghans qui défendent le texte affirment que la femme peut refuser des relations conjugales « sur la base d’excuses légitimes ou logiques ou avec la permission de son mari ».

Un nouveau progrès pour l’humanité à lire sur NouvelObs.com

Crise : Sortir du cercle vicieux, par Wolfgang Münchau – 30 mars 2009

« Je suis plus inquiet aujourd’hui que je ne l’étais il y a un mois. Le principal problème, ce sont ces boucles de rétroaction entre l’économie réelle et le secteur bancaire, qui sont vraiment effrayantes, » s’alarme Wolfgang Münchau, éditorialiste au Financial Times, qui prévoit que la crise, en frappant de plein fouet l’économie réelle, va provoquer une recrudescence de défaillance de ménage et d’entreprises, fragilisant encore plus des banques qui n’ont pas encore fini de restaurer leurs fonds propres après la première saignée de dépréciation des actifs toxiques. Ni le plan Geithner, ni les mesures d’urgence prises en Europe ne prennent en compte cette deuxième vague, avertit-il, avant de conclure que les européens, qui ont déjà commis de « nombreuses erreurs d’appréciations » devront mettre en oeuvre un nouveau plan, tout comme les USA.

A Lire sur Contreinfo

OCDE : la plus grave récession de mémoire d’homme – 1er avril 2009

Les graphiques établis par l’OCDE pour faire le point sur la situation à l’approche du G20 permettent de juger rapidement de l’ampleur exceptionnelle d’une récession à l’échelle mondiale que les analystes de l’organisation décrivent comme « la plus profonde et la plus synchronisée de mémoire d’homme ». Activité économique, production industrielle, commerce international, crédit, secteur immobilier, chômage, déficits budgétaires, tous les indicateurs sont – ou vont – passer au rouge. Cette crise est déjà plus forte que celles qui avaient suivi les deux chocs pétroliers, et l’OCDE prévoit qu’elle devrait s’aggraver encore durant l’année, provoquant une contraction de l’activité comprise en 4 et 7% sur l’ensemble des pays appartenant à l’organisation. Une grande incertitude continue de régner, jugent les analystes, car les prévisions publiées dépendent de la réussite de l’assainissement du secteur financier avant la fin de l’année. Mais comme le notait Munchau, l’OCDE s’inquiète que le ralentissement ne détériore encore la solvabilité des établissements et elle précise que ses prévisions pourraient également être remises en cause par une crise monétaire ou une crise bancaire touchant les pays européens de l’est ou les pays émergents. Nous avons sélectionné les principaux indicateurs publiés par l’OCDE.

A lire sur ContreInfo

Et sur le G20, la vision de Jacques Attali, sur son blog : Un dernier verre, pour la route – le 2 avril 2009

Par Reuters, publié le 02/04/2009

PARIS – Les violences policières restent trop souvent impunies en France, qui ne s’est pas donné les moyens d’enquêter en toute indépendance pour permettre aux victimes d’obtenir réparation, estime Amnesty International.

A Lire sur L’express.fr